LUNDI 15 ET MARDI 16 AVRIL
Voyage retour photogénique ! On commence par une nuit à l’aéroport de Sapporo où nous avons trouvé un plan de fou pour dormir : onsen + pyjama + nuit + petit déj pour 3000 yens (25€) à l’intérieur du terminal. Parfait pour être frais et dispo avant une quinzaine d’heures de vol cumulés. A faire absolument si vous passez dans le coin. Ensuite c’est parti pour un Sapporo – Tokyo suivi d’un Tokyo – Londres en 777 avec vue imprenable sur le Fuji et les massifs japonais. On laisse plutôt parler les photos ci-dessous. Nous sommes à Londres, il reste encore un vol, merci de nous avoir suivi !
Onsen à l’aéroport de Sapporo !
Dodo 3 étoiles à l’aéroport de Sapporo
777 Japan Airline livré JO 2020
aéroport flottant
Le Fuji et la baie de Tokyo
Les Alpes japonaises et la mer du Japon
DIMANCHE 14 AVRIL
On ne change pas une équipe qui gagne, direction le secteur du Tokachi pour encore une bonne petite session de poudre. On en profite pour bien tester le dernier X4 de Crosscall, les photos / vidéos ci-dessous sont prises avec. Test complet à venir.
La face du jour
Arrivée sur l’arête (photo Crosscall Trekker X4)
Après l’effort, le réconfort : onsen ! (photo Crosscall Trekker X4)
SAMEDI 13 AVRIL
Nous avons rendu visite au cratère fumant du Tokachi : impressionnant ! Impossible de rester plus de quelques minutes en haut : on sent vite que fumer ce n’est pas bon pour la santé…
Objectif en vue
Le cratère fumant, faut pas trainer ça pique la gorge !
Encore de belles conditions sur tout l’itinéraire…
VENDREDI 12 AVRIL
Couloir NE du ジャイアント尾根 !
On ne se lasse pas de découvrir le groupe volcanique de Tokachi…
Couloir du NE du ジャイアント尾根
Approche tranquille !
Ca plonge
février ou avril ?
JEUDI 11 AVRIL
Découverte du groupe volcanique de Tokachi : wahou !! Des dizaines de volcans avec des fumerolles monstrueuses et surtout un terrain génial pour le ski. De la pente, de nombreuses orientations, des forêts… Nous avons pu skier une combe Nord du Mitsuminesan au milieu de fumerolles.
MERCREDI 10 AVRIL
Journée sur le célèbre Asahidake et ses fumerolles… C’est joli mais pour le ski c’est nul ! Le secteur est beaucoup trop plat et le sommet complètement pelé par le vent. Pourtant le téléphérique était plein de freerideurs, va comprendre.
Asashidake en vue
C’est encore bien l’hiver
Encore un peu de neige sur la route !
Le paradis des snowboardeurs !! ahah !
Vue imprenable sur les fumerolles sous le sommet
MARDI 9 AVRIL
On quitte Rishiri à contre cœur… Quelle île géniale ! Tout est réuni sur un tout petit bout de terre. Direction maintenant Hokkaido avec comme camp de base Higashikawa. Pour l’instant tout est bouché, le temps nous réserve la surprise pour demain.
Arrivée du Cypria Soya
Adieu Rishiri !
Ils ne savent plus quoi faire de la neige sur Hokkaido !
Sur les routes d’Hokkaido
DIMANCHE 7 ET LUNDI 8 AVRIL
Mission versant Est du Rishiri où les pentes plongent presque directement dans la mer. Joli but dimanche dans un brouillard à couper au couteau alors que la météo annoncait grand beau ! Le mauvais temps sur Rishiri ce n’est pas une légende. Aujourd’hui c’était la bonne avec une journée démente. Le réveil à 4h du mat’ nous a même laissé le temps de faire 2 runs avant le retour du mauvais temps à midi.
demi tour dans le brouillard
Montée suspendue
Oh le beau run !
Un peu de place pour tracer sur le bas du volcan
SAMEDI 6 AVRIL
Après une petite livraison de poudre pendant la nuit au niveau de la mer, le mauvais temps est toujours de la partie. Direction les forêts pour tenter d’en profiter et nous avons trouvé un super spot sans approche avec vue plongeante sur la mer, jugez plutôt :
VENDREDI 5 AVRIL
Tour de l’île pour profiter des différentes vues sur le volcan avant l’arrivée du mauvais temps. Le tour complet par la route fait seulement 50km, on a eu le temps de faire la sieste et d’aller au Onsen après !! Impressionnant toutes les lignes qu’il y a à skier sur un si petit bout de terre…
Belle vue sur le Rishiri
Repérage accès
refuge tsunami
Les courses
départ à la pêche
Carlos à la TV
JEUDI 4 AVRIL
Nous avons atteint le sommet du Rishiri dès le 1er jour de ski dans des conditions incroyables, quelle chance ! Bon, on avait vu le créneau, c’est pour ça qu’on a bourriné après l’atterrissage à Sapporo et ça valait le coup (voir J1 à J3 ci-dessous). Montée skis aux pieds presque jusqu’au sommet et descente intégrale dans la poudre sous un grand soleil sur plus de 1500m. Seul bémol le vent était de la partie mais le Rishiri sans vent ça ne doit pas être souvent. Ceci dit on a eu presque 30 minutes d’accalmie au sommet venue de nul part !
Vue sur le sommet du Rishiri pendant la montée
Pente sommitale en poudre !
Ca ventile !
Belle pente, belle poudre, que demander de plus ?
MERCREDI 3 AVRIL
Après une courte nuit, on embarque à 6h du matin dans le ferry pour Rishiri. Superbe traversée avec vue imprenable sur le volcan au petit matin. Merci à la nuit dans la voiture qui nous a permit de prendre le 1er bateau et de profiter des belles lumières matinales. Arrivés à Rishiri, le volcan se bouche, beau timing, on va pouvoir enfin se reposer…
Technique anti mal de mer ou anti jetlag
Arrivée à Rishiri
Le ferry à quai à Rishiri
Notre camp de base à Rishiri
Vue depuis l’auberge
LUNDI 1 ET MARDI 2 AVRIL
C’est parti pour un voyage sur les îles japonaise d’Hokkaido et de Rishiri ! On commence par un petit trajet en avion en passant Toulouse – Londres – Osaka – Sapporo avant de louer une voiture pour rallier Wakkanai au nord d’Hokkaido. Le plan était de dormir sur la route et de finir le boulot le lendemain mais impossible de trouver où dormir ! La côté Ouest est très sauvage et après 4 buts sur des hôtels qui ne voulaient pas de nous, on s’est résigné à dormir dans la voiture. En contrepartie cela nous à permit de prendre le bateau à 6h du matin avec un belle récompense, voir J2 !!
Dernier avion pour Hokkaido
Arrivée sur Hokkaido
Skis bien arrivés à Osaka ! Plus qu’un vol !
Repas tardif sur la route vers Wakkanai, on fait simple vu que tout est fermé !!
Dodo dans la voiture à 4 au port de Wakkanai, vivement un vrai lit !
Super la caméra ambarquée … la musique « locale » est par contre moins… moins quoi…
pourtant c’est soft…